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Comptabilité, fiscalité et gestion financière

Formations Comptabilité générale, auxiliaire et analytique

Acquérir une maîtrise des mécanismes comptables, que ce soit en comptabilité générale, auxiliaire ou analytique, est aujourd'hui un impératif pour assurer la fiabilité des données financières, faciliter la prise de décision et garantir la conformité réglementaire. 

Notre offre couvre la comptabilité clients et fournisseurs, l'initiation et l'approfondissement en comptabilité générale (niveaux 1 & 2), la gestion des immobilisations (et de leurs amortissements), les opérations d'inventaire et la clôture des comptes, ainsi que la comptabilité analytique. Pour répondre aux besoins du quotidien, nous proposons aussi des modules ciblés : paie pour non‑spécialistes, comptabilité de la paie, dématérialisation des documents comptables, relance des impayés, sans oublier notre offre modulaire "Opérations comptables". Des stages conçus pour les équipes comptables et les non‑spécialistes qui souhaitent gagner en autonomie et en fiabilité.

Comptabilité générale, auxiliaire et analytique

Formation Durée Spécificité Avis
Comptabilité clients
Contrôler le cycle vente/client à l'heure de la dématérialisation
2 jours

Noté 4.4/5

Comptabilité fournisseurs
Appliquer les règles juridiques, fiscales et comptables relatives aux achats
2 jours

Noté 4.2/5

Dématérialisation des documents comptables et administratifs
Règles juridiques et mise en œuvre dans l’entreprise
2 jours

Noté 4.3/5

L'essentiel de la comptabilité générale - Niveau 1
Intégrer les principaux mécanismes comptables
3 jours

Noté 4.5/5

L'essentiel de la comptabilité générale - Niveau 2
Préparer les opérations de fin d'exercice
3 jours

Noté 4.5/5

Traiter les immobilisations corporelles et incorporelles
Aspects financiers, comptables et fiscaux des immobilisations
2 jours

Noté 4.6/5

Organiser la clôture des comptes annuels
Améliorer la qualité, réduire les délais et les coûts
2 jours

Noté 4.1/5

La paie pour les non-spécialistes
Vocabulaire, règles, rubriques du bulletin… Intégrer les fondamentaux
2 jours
  • Best GERESO

Noté 4.6/5

Opérations comptables
Écritures courantes et opérations d'inventaire
6 jours
  • Offre modulaire

Noté 4.5/5

Comptabilité de la paie
Enregistrer les écritures de charges de personnel
2 jours

Noté 4.6/5

L'essentiel de la comptabilité analytique
Appliquer les méthodes d'analyse des coûts et de la performance
2 jours

Noté 5/5

Pourquoi suivre l'une des formations GERESO sur la comptabilité générale, auxiliaire ou analytique ?

Choisir une formation en comptabilité, c'est décider de sécuriser le socle sur lequel reposent toutes les décisions financières : la qualité de l'information, la conformité des processus et la fluidité du quotidien comptable. La comptabilité générale fournit le langage commun des chiffres : elle permet de produire des bilans et comptes de résultat fiables, de passer des écritures d'inventaire cohérentes et d'expliquer les états sans hésiter. Quand les principes de base (comptabilité d'engagement, rattachements, amortissements, provisions) sont partagés, les clôtures deviennent prévisibles, les échanges avec l'audit se simplifient et la direction peut s'appuyer sur des chiffres qu'elle comprend.

Au-delà de ce socle, la comptabilité auxiliaire est le lieu où se joue la réactivité de l'entreprise. Côté fournisseurs, un cycle Procure-to-Pay bien tenu (commandes cadrées, factures contrôlées, lettrage propre, cut-off robuste) réduit les litiges, sécurise la TVA et donne de la visibilité sur les engagements. Une équipe formée ne voit plus ces tâches comme de la simple "saisie", mais comme un levier direct sur la trésorerie et le BFR.

La comptabilité analytique, elle, donne du relief à ces chiffres. Elle relie les coûts aux décisions : axes analytiques, centres de coûts et de profits, clés de répartition, unités d'œuvre, grilles de refacturation interne. Les contrôleurs de gestion y trouvent un terrain plus solide pour construire les budgets, expliquer les marges et analyser les écarts ; les comptables acquièrent des réflexes de "pensée flux" qui évitent les ruptures entre enregistrement et analyse. Résultat : chacun lit la performance avec les mêmes repères, ce qui facilite un plan d'économies, un chantier de productivité ou le lancement d'une nouvelle offre.

L'intérêt de regrouper comptabilité générale, auxiliaire et analytique dans un même univers de formation tient justement à ces passerelles. Une bonne maîtrise des immobilisations fait le lien entre normes, cycle d'investissement et impact sur l'EBITDA. Un module centré sur la TVA et le cut-off consolide les réflexes entre achats et ventes. Une journée dédiée à la comptabilité de la paie aligne RH et finance sur les rémunérations, charges sociales et provisions de congés. En travaillant ces sujets dans un cadre unique, on documente une fois pour toutes les règles (PCG, règlements ANC), on réduit les écarts d’interprétation et on gagne du temps à chaque clôture.

Les formations GERESO sur la comptabilité générale, auxiliaire et analytique offrent pour cela un cadre pédagogique structuré, déployable en inter, en intra ou en digital learning. Cas pratiques, mises en situation, exemples directement issus de la vie des équipes : l'objectif est de produire des réflexes, pas des connaissances théoriques de plus. Pour des équipes réparties sur plusieurs sites, c'est un atout décisif : la même règle, le même exemple, la même feuille de route, partout. Pour une PME en croissance comme pour un groupe, la modularité des parcours permet d’aller du tronc commun (plan de comptes, écritures courantes, opérations d'inventaire) jusqu'aux sujets analytiques ou fiscaux plus pointus, sans perdre la cohérence d’ensemble.

Le rapprochement avec FinHarmony renforce encore ce dispositif : expertise métier pour les contenus, puissance logistique de GERESO pour le déploiement. Concrètement, vous disposez d'une offre portée par FinHarmony × GERESO, animable en présentiel, à distance, en inter ou en intra, jusqu'à l'e-learning tutoré lorsque la flexibilité est clé. Pour une direction financière, l'enjeu dépasse la formation : il touche au contrôle interne et à la gouvernance. Formaliser les règles, tracer les contrôles de premier niveau, clarifier les responsabilités par cycle (clients, fournisseurs, immobilisations, paie, analytique), c'est renforcer la fiabilité des comptes sans multiplier les lourdeurs.

En résumé, choisir l'une des formations GERESO sur la comptabilité générale, auxiliaire ou analytique, c'est se doter d'un dispositif crédible et mesurable : montée en compétences structurée, pratiques harmonisées, clôtures plus rapides, moins de retraitements de dernière minute et des échanges apaisés avec les auditeurs. Pour un directeur financier, un contrôleur de gestion ou un responsable formation, c'est un levier concret pour faire passer la comptabilité du statut de "centre de contraintes" à celui de socle partagé de la performance.

Quelles compétences allez-vous acquérir au cours des formations GERESO sur la comptabilité générale, auxiliaire ou analytique ?

Les parcours GERESO en comptabilité générale, auxiliaire et analytique ne visent pas seulement à "rappeler les règles". Ils construisent un ensemble de compétences opérationnelles qui permettent de sécuriser les enregistrements, d'accélérer les clôtures et de rendre les chiffres directement exploitables par la direction.

Le premier bloc de compétences concerne la comptabilité générale. Les participants consolident les mécanismes indispensables : plan de comptes, logique débit / crédit, enchaînement journaux → balance → états de synthèse. Ils apprennent à relier chaque écriture à une règle claire du PCG, à éviter les confusions fréquentes (nature / fonction, charges immobilisables, traitement de la TVA), à préparer et passer les écritures d'inventaire : amortissements, dépréciations, provisions pour risques et charges, charges et produits constatés d'avance, cut-offs. Ils repartent avec des check-lists de revue de comptes, des modèles de notes de synthèse et des réflexes de cohérence entre bilan et compte de résultat, qui transforment la clôture en processus maîtrisé plutôt qu'en rattrapage à J+10.

Le deuxième bloc couvre la comptabilité auxiliaire clients et fournisseurs. Côté clients, les équipes apprennent à sécuriser le cycle vente / encaissement : fiabiliser la facturation, encadrer les avoirs, organiser le lettrage, suivre le DSO, dimensionner les provisions pour dépréciation de créances et outiller la coopération avec les commerciaux et le recouvrement. Côté fournisseurs, elles savent mettre en place un contrôle documentaire pertinent (commande - réception - facture), traiter correctement la TVA déductible, gérer escomptes et pénalités, organiser un cut-off robuste et optimiser le DPO sans risque de non-conformité. Des compétences plus relationnelles, comme la relance téléphonique des impayés, viennent compléter le dispositif : préparer un entretien, s'appuyer sur les bonnes pièces, fixer un engagement, suivre les promesses. Au total, cela se traduit par des lettrages propres, moins d'écritures d'ajustement et une trésorerie plus prévisible.

Un troisième bloc touche aux immobilisations et à la dématérialisation, deux zones où les erreurs coûtent cher. Sur les immobilisations corporelles et incorporelles, les participants apprennent à cadrer le cycle complet : critères d'entrée à l'actif, composants, mise en service, choix des durées et modes d'amortissement, gestion des subventions d'investissement, cessions et sorties. Ils savent arbitrer entre charge et immobilisation, calculer les dotations, traiter les plus-values et moins-values et anticiper les incidences fiscales. La formation dédiée à la dématérialisation donne, elle, la cartographie juridique et opérationnelle : valeur probante des documents, piste d'audit fiable, gouvernance documentaire, articulation GED / ERP, préparation à la facturation électronique et à l'e-reporting. On en sort avec des circuits clairs : qui numérise quoi, à quel moment, avec quels contrôles.

La comptabilité de la paie constitue un quatrième champ de compétences. Les modules pour non-spécialistes donnent aux équipes finance un vocabulaire commun avec les RH : structure d'un bulletin, bases et assiettes, principales rubriques, règles de droits. La formation dédiée aux écritures de paie apprend ensuite à schématiser correctement les OD de charges de personnel, à traiter avantages en nature, intéressement / participation, provisions de congés et charges sociales, et à concilier DSN, états de contrôle et comptabilité. Là où la paie était souvent vécue comme une "boîte noire", les participants disposent d'un processus documenté et traçable.

Le cinquième bloc porte sur la comptabilité analytique et le lien avec la performance. Les participants apprennent à concevoir des axes et centres de coûts pertinents, à choisir des clés de répartition compréhensibles, à définir des unités d'œuvre mesurables et à bâtir des grilles de refacturation interne crédibles. Ils savent relier coût de revient, tarifs et marges par produit, client ou canal ; expliquer les écarts (prix, volume, mix, structure) et formuler des recommandations concrètes aux opérationnels. L'essentiel n'est pas de complexifier les modèles, mais de disposer d’une lecture des coûts qui aide réellement à trancher.

Enfin, un bloc transversal est consacré à l'organisation de la clôture et au contrôle interne. Les formations aident à structurer un planning de clôture, à fixer des jalons, à clarifier les responsabilités (RACI par cycle), à cadrer les ajustements autorisés, à préparer les dossiers de justification et les notes explicatives attendues par l'audit. Les cas pratiques (migration d'ERP, plan de réduction du BFR, campagne d'inventaire, déploiement de la dématérialisation) permettent de mettre ces compétences à l'épreuve sur des situations complètes. Les participants repartent avec des modèles prêts à l'emploi : check-lists, matrices d'imputation, fiches de contrôle, canevas de notes.

Au final, ce faisceau de compétences couvre l'ensemble de la chaîne comptable : enregistrement sans ambiguïté, cycles auxiliaires maîtrisés, immobilisations correctement traitées, paie fiabilisée, coûts analysés avec méthode, clôture organisée, documents sécurisés et dématérialisés. Concrètement, cela se traduit par des clôtures plus rapides, des dossiers mieux argumentés, des écarts explicables et des échanges plus sereins avec les auditeurs. C'est exactement l'ambition de ces parcours : faire de la qualité comptable un standard quotidien, et non un effort héroïque de fin de mois.