Formations Normes comptables internationales
Normes comptables internationales
Pourquoi suivre l'une des formations GERESO × FinHarmony en Normes comptables internationales ?
Choisir une formation GERESO × FinHarmony, c'est d'abord accepter une promesse simple : passer d'un référentiel perçu comme théorique à une pratique sûre, documentée et défendable en clôture, sans rupture entre le terrain et le comité d'audit. Le parcours commence souvent par comprendre les normes IFRS, non pas comme un survol académique, mais comme l'installation d'un cadre commun : à quoi servent réellement les états primaires, comment s'articulent-ils avec les notes, où résident les zones à jugement et comment les traiter pour que la méthode l'emporte sur l'habitude, y compris lorsque la pression de délai pousse spontanément à reproduire les écritures de la période précédente. De là, il s'agit de savoir appliquer les IFRS. En somme, traduire ces repères en gestes d'exécution : les schémas d'écritures sont stabilisés, les contrôles de cohérence deviennent réflexes, la documentation est préparée pour la revue (audit interne et commissaires aux comptes), et les passerelles vers la consolidation cessent d'être des bricolages pour devenir des ponts propres et systématiques. Une fois la base posée, le parcours avance là où les sujets se tendent en clôture.
La norme IFRS 15 permet d'aller au-delà des slogans sur les obligations de performance : l'équipe apprend à lire un contrat, à décomposer ce qui relève d'une obligation distincte, à traiter les contreparties variables (remises, droits de retour, bonus, pénalités) sans déformer la marge ni inventer des ajustements tardifs, à distinguer ce qui se reconnaît au fil du temps de ce qui s’enregistre à l'achèvement et à en faire une note lisible qui relie commandes, livraisons et revenus ; une note courte, mais qui tient en revue, sans renvoyer l'audit à dix annexes contradictoires. IFRS 16 lève le voile sur les locations : recensement complet, qualification du périmètre, calcul de l'actif d'usage et de la dette, choix des taux d'actualisation, traitement des réestimations et des cessions-bail ; surtout, le module insiste sur l'explication des impacts de présentation (EBITDA, flux, ratios) et, lorsque c'est pertinent, sur les covenants bancaires, pour que la direction comprenne l'effet dès la décision de signer un contrat.
Côté instruments financiers, la formation sur la comptabilité selon IFRS 9 réinstalle la logique de classification / évaluation (amortised cost, FVOCI, FVTPL) et des pertes de crédit attendues ; en miroir, celle sur les Dérivés & leur couverture démystifie les forwards, swaps et options pour que tout le monde parle la même langue quand il s'agit de désigner une relation de couverture. En complément, il existe un module de niveau avancé qui va plus loin sur instruments complexes de type tunnels et les cas particuliers. Besoin d'autre chose ? La formation sur la couverture de change aligne trésorerie et consolidation sur une cartographie d'expositions partagée, tandis que celle sur le référentiel français verrouille la cohérence quand des filiales publient aussi en social.
L'atterrissage du bilan passe par les actifs non financiers : la formation sur les immobilisations clarifie l'entrée à l'actif, la décomposition par composants, les mises en service, les subventions et les sorties ; une autre sur les tests de perte de valeur rend IAS 36 praticable, du screening à la définition des CGU, de la modélisation de cash-flows aux sensibilités attendues par l'audit, avec un dossier qui se relit ; autour, IAS 37 pose une frontière nette entre provisions, passifs éventuels et simples risques, sans sur- ni sous-provisionnement, et IAS 19 explique les régimes à prestations / cotisations définies, le passage par résultat et OCI, et la communication attendue. Les dispositifs d'actionnariat sont clarifiés avec l'actionnariat salarié et les stock-options (IFRS 2) : RH et finance partagent enfin la même grille de lecture de la charge, des vestings et des disclosures pour éviter les redites. Les mouvements de périmètre sont cadrés par IFRS 5 (classification, évaluation, présentation des activités abandonnées), tandis que IFRS 8 rapproche l'information sectorielle du pilotage réel et organise des réconciliations vers les états primaires qui ne se discutent plus.
Au moment d'une première adoption, IFRS 1 guide l'opening balance, les exemptions et les exceptions obligatoires ; si vous opérez dans des économies hyperinflationnistes, IAS 29 fournit la marche à suivre (indices, retraitements, effets capitaux propres) pour éviter les improvisations.
La communication de la performance via les états financiers est structurée avec IFRS 18, qui aide à définir des agrégats disciplinés, des passerelles nettes et un discours cohérent entre mesure de gestion et publication — un levier direct pour réduire les questions en comité d'audit.
Parce que les textes évoluent, nos modules sur l'actualité IFRS filtrent l'important et vous permettent de convertir ces évolutions en actions concrètes : modèles mis à jour, procédures ajustées, annexes clarifiées.
Beaucoup de groupes dialoguent avec les États-Unis, et nous avons les formations sur le sujet : une première sur les fondamentaux des US GAAP donne les repères pour comprendre la logique américaine, ensuite une sur la comptabilité américaine outille le quotidien, et enfin, une dernière sur les retraitements du référentiel US GAAP apprend à bâtir des passerelles propres sans mélanger les référentiels.
Enfin, si vous souhaitez certifier votre expertise en IFRS, la session examen libre propose une évaluation exigeante et utile, qui valorise la montée en compétence et sécurise la délégation des responsabilités.
Au fond, choisir ces formations, c'est faire le pari de la sobriété efficace : moins de friction en clôture, moins de réouvertures, plus de positions expliquées, et des comptes qui deviennent un vrai outil de décision et non plus un simple objet de conformité.
Quelles compétences allez-vous acquérir au cours des formations GERESO × FinHarmony en Normes comptables internationales ?
Vous repartez avec une méthode qui se voit dans les délais, se lit dans les annexes et s'entend dans les réunions : expliquer vos comptes de façon fiable, justifier vos positions sans détour, documenter vos choix avec une preuve courte mais solide, et maintenir cette exigence de clôture en clôture. Le socle, c'est l'enchaînement entre la compréhension des normes IFRS puis l'application. Comprendre le rôle précis de chaque état, l'articulation avec les disclosures, identifier les zones à jugement, puis transformer ces repères en gestes d'exécution : élaborer un schéma d'écriture sans hésitation, dérouler des contrôles de cohérence qui attrapent les anomalies tôt, alimenter des matrices de documentation prêtes pour la revue et bâtir des passerelles claires vers la consolidation.
Sur le sujet le plus scruté, le chiffre d'affaires, IFRS 15 vous apprend à décomposer un contrat en obligations de performance, à traiter la contrepartie variable sans tordre la marge, à distinguer le "over time" du "point in time" sur des critères défendables, à documenter les modifications de contrat sans repartir de zéro, et à relier commandes, livraisons, revenus et cash dans une note lisible qui tient sur une page si nécessaire.
Les angles morts des locations se ferment avec IFRS 16 : vous savez recenser, qualifier le périmètre, calculer l'actif d'usage et la dette, choisir les taux d'actualisation, gérer les réestimations et les cessions-bail, puis présenter les impacts sur les agrégats clés et, le cas échéant, sur les covenants, sans multiplier les fichiers parallèles ; surtout, vous devenez capable d'expliquer l'effet d'une décision (option, renouvellement, indexation) à ceux qui engagent la signature.
Sur les instruments financiers, le module sur IFRS 9 remet à plat classification / évaluation et pertes de crédit attendues ; Dérivés & Couverture - Niveau 1 vous donne la maîtrise des forwards, swaps et options, quand Dérivés & Couverture – Niveau 2 traite des instruments plus complexe et des cas particuliers.
La formation sur la couverture de change aligne la trésorerie et la consolidation autour d'une cartographie d'expositions partagée et celle sur la comptabilité de couverture en référentiel français évite les confusions lorsque des normes locales cohabitent avec l'IFRS.
Vous prenez aussi de l'aisance sur les actifs non financiers et engagements : les immobilisations, corporelles et incorporelles pour la comptabilisation initiale, les composants, la mise en service, les subventions, les sorties ; les tests de perte de valeur pour rendre IAS 36 praticable, du screening à la définition des CGU, des hypothèses de flux aux sensibilités ; la comptabilité des passifs et des provisions avec IAS 37 pour séparer provisions, passifs éventuels et risques, avec une mesure fiable ; IAS 19 pour comprendre les régimes à prestations / cotisations définies et articuler résultat / OCI ; l'actionnariat salarié et les stock-options pour rendre IFRS 2 intelligible aux RH comme à la finance, clarifier la charge, les vestings et les disclosures.
Les mouvements de portefeuille et la présentation de la performance ne seront plus des zones d'ombre : IFRS 5 pose des critères de classification, d'évaluation et de présentation des activités abandonnées ; IFRS 8 aligne l'information sectorielle sur le pilotage réel et met en place des réconciliations robustes ; IFRS 18 aide à structurer des agrégats disciplinés et des passerelles nettes entre gestion et publication, ce qui réduit mécaniquement les questions en comité d'audit et sécurise la communication externe.
Enfin, si vous êtes dans le cas d'une première adoption des IFRS, IFRS 1 cadre l'opening balance, les exemptions et les exceptions ; si vous évoluez en économie hyperinflationniste, IAS 29 fournit la marche à suivre, indices et retraitements compris, pour éviter les reconstitutions laborieuses, et vous pouvez attester du niveau atteint via la session examen libre IFRS, utile pour sécuriser une délégation de responsabilités, préparer une mobilité interne ou alléger les discussions d'audit.
Au quotidien, les livrables fournis (trames de notes, check-lists de revue, matrices de contrôle, passerelles standardisées, exemples d'annexes) vous font gagner du temps ; la discipline de versioning évite les redites siège–filiales ; et la capacité de restitution (une note d'une page, un bridge avant / après, trois hypothèses, un test de sensibilité, une recommandation) raccourcit les réunions et clarifie les arbitrages.
Au bout du parcours, les compétences acquises dessinent un tout cohérent : un langage commun entre finance de groupe, filiales et auditeurs ; des méthodes reproductibles qui tiennent d'une clôture à l'autre ; des annexes plus courtes et plus claires ; des décisions prises plus vite, parce que la matière est expliquée, documentée et assumée ; exactement ce qu'attend une organisation qui publie en IFRS : moins d'aléa, plus de maîtrise et des états qui deviennent un outil de décision, pas seulement une conformité respectée.
Les thématiques de formations en "Comptabilité, fiscalité et gestion financière"
- Comptabilité générale, auxiliaire et analytique 12 formations
- Contrôle interne et organisation 4 formations
- Consolidation et reporting 20 formations
- Gestion financière Trésorerie et Business plan 17 formations
- Planification & pilotage de la performance 20 formations
- Fiscalité 21 formations
- Comptabilité et finance pour managers 15 formations
- Analyse financière 7 formations
- Management et Soft skills pour financiers 5 formations
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