Il est probable que son contenu ne soit plus à jour.
Quand et comment s’hydrater ?
C’estle sel contenu dans l’eau qui, améliorant l’entrée de l’eau dans lestissus, permet une récupération plus rapide de l’équilibre hydriquecellulaire. Le caractère alcalin propre aux eaux bicarbonatées, comme »Badoit », « Vichy », « Perrier », accélère également la récupération del’eau et des sels minéraux consommés.
Recette pour rester performant toute la journée :
Suggestions d’actions de prévention au sein de l’entreprise
Conseils d’hydratation en présence de certaines pathologies
En cas de constipation
En cas de retour veineux ou d’affection hépathique
Les eaux bicabonatées sodiques doivent être privilégiées : « Vichy », »Badoit », « Vals les Bains »…Ces eaux sont par contre à déconseilleraux personnes hypertendues ou cardiaques.
En cas de problèmes de reins ou des voies urinaires
Les eaux sulfatées calciques (« Vittel », « Contrex », « Capvern »…) ou leseaux hypominéralisées (« Evian », « Thonon »…) sont plus appropriées, carelles favorisent l’élimination des déchets.
En cas de problèmes musculo-tendineux
Notamment de crampes fréquentes, de courbatures ou de tendinites, ilest nécessaire d’augmenter le volume d’eau quotidien. En effet, lesapports hydriques servent d’abord les organes vitaux, comme le coeur,les poumons, et seulement ensuite, les muscles et les tendons. Unetelle hydratation a d’autant plus d’intérêt lorsqu’il s’agit dedouleurs au tendon d’Achille ou au psoas iliaque (muscle primordialdans les problèmes lombaires).
Les articles du Code du travail relatifs à l’hydratation
Article L.230-2 du Code du travail
Lesemployeurs sont tenus de prendre les mesures nécessaires pour assurerla sécurité et protéger la santé des travailleurs de leursétablissements, en y intégrant les conditions de température.
Article R.232-3 du Code du travail
Les employeurs doivent mettre à la disposition des travailleurs de l’eau potable et fraîche pour la boisson.
Article R.232-3-1 du Code du travail
Dansle cas où des conditions particulières de travail entraînent lestravailleurs à se désaltérer fréquemment, l’employeur est tenu, enoutre, de mettre gratuitement à leur disposition au moins une boissonnon alcoolisée.
La liste des postes de travailconcernés est établie par l’employeur, après avis du médecin du travailet du comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail ou, àdéfaut, des délégués du personnel.
Le choix des boissons et le choix des aromatisants, qui doivent titrermoins d’un degré d’alcool et être non toxiques, sont fixés en tenantcompte des souhaits exprimés par les salariés et après avis du médecindu travail.
L’employeur détermine l’emplacement des postes de distribution des boissons qui doivent être à proximité des postes de travail et dans un endroit remplissant toutes les conditions d’hygiène.
L’employeur doit, en outre, veiller à l’entretien et au bonfonctionnement des appareils de distribution, à la bonne conservationdes boissons et surtout à éviter toute contamination.
Article R.232-5 du Code du travail
Dansles locaux fermés où le personnel est appelé à séjourner, l’air doitêtre renouvelé de façon à éviter les élévations exagérées detempérature.
Article R. 232-5-2 du Code du travail
L’aération doit avoir lieu soit par ventilation mécanique, soit par ventilation naturelle permanente.
Article R.235-2-9 du Code du travail
Depuisle 1er janvier 1993, les constructions nouvelles devant abriter deslocaux affectés au travail, doivent permettre d’adapter la températureà l’organisme humain pendant le travail, compte tenu des méthodes detravail et des contraintes physiques supportées par les travailleurs.
Auteur : Virginie ABADIE, Formatrice pour C3S,, masseur kinésithérapeute, thérapeute manuel.