[EN BREF] Le refus de mise en oeuvre d’une clause de mobilité : une faute grave ?

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La  Cour de cassation estime que si le refus de mise en œuvre dans l’intérêt de l’entreprise d’une clause de mobilité constitue une faute, celle-ci ne peut être qualifiée de grave sauf si le salarié a un comportement, au-delà du refus, dommageable à l’entreprise.

C’est le cas, en l’espèce, puisque le salarié a refusé sa nouvelle affectation et s’est mis ensuite en absence injustifiée.

Source : Cass. soc., 12 janv. 2016, no 14-23290

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